JOSH MCLONGER
Cahier de notes
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Samedi 30 Décembre 2017
Depuis maintenant 3 mois que j'ai quitté la Syrie. On m'avait appelé car il manquait beaucoup de médic là-bas. J'ai donc eu à m'occuper des personnes les plus touchées, tel que membres sectionnés, opérations d'urgences, arrêt cardio..
Les cris m'ont traumatisé, tel que, le soir j'y pense encore et encore. Mais je garde tout pour moi, malgré ça.
J'ai perdu beaucoup d'amis là-bas, et j'avais cette angoisse énorme de me faire tuer, ou de tomber sur une mine anti-personnelle artisanale, fabriquée par l'EI, mais non. J'ai eu de la chance, et je suis encore envie.
Des amis, j'en ai rencontrés beaucoup là-bas, que ce soit de l'armée Américaine ou de la Corporation. On était tous réunis et il régnait un esprit de famille malgré nos différences.
J'avais rencontré quelqu'un, où on discutait énormément le soir. Il venait de LS lui aussi. C'est pour ça qu'on discutait énormément de l'île. On avait prévu beaucoup de choses ensemble, des sorties, des balades, on comptait l'un sur l'autre et au combat, on était inséparable.
On était comme des frères lui et moi, et jamais je pensais avoir une affinité comme celle-ci.
Quand je suis revenu de LS, je l'attendais pour prévoir ce qu'on s'était dit de faire.
Je l'attendais, pour oublier le jour où je l'ai vu se faire tuer, de mes propres yeux.
J'ai tout essayé pour le récupérer, mais une balle de kalachnikov lui a traversé la boîte cranienne avant de lui enlever les 3/4 de son cerveau.
Ses yeux vides, rouges, me regardèrent, l'air de dire "Je t'en supplie, sauve-moi."
J'étais impuissant face à lui, et forcé de laisser son corps à ces putains de terroristes de merde.
Je suis tombé alors en dépression. L'Etat-Major m'a levé de mes fonctions le temps de ma convalescence, et lors de la reprise, on m'a attitré juste "Medic" et non Chef d'Escouade. C'est désormais une femme du nom de Sofia Novak. Elle est très spéciale, mais elle a de l'expérience on m'a dit. J'espère qu'elle tiendra le coup.
Passons, avant que ce journal devienne morbide.
Alors oui, je suis de retour sur cette île. Ma famille m'a quitté, et je suis seul. Mis appart les collègues qui grâce à eux me soutiennent et font de moi quelqu'un de vivant.
Je ne sais pas si sans eux je m'aurais déjà mis une balle dans la tête. Alors, je passe plus de temps à la base ainsi qu'au complexe, que chez moi.
On est une petite escouade aujourd'hui, mais je suis entouré de bons hommes (et d'une bonne femme, bonne)
Et d'entrée, on est dans le collimateur d'un groupe de Biker pitoyable. Je ne doute que dans pas longtemps ait une intervention leur concernant.
On a récupéré l'un des leurs déjà, cependant il n'était que homme de rang. Ce n'était pas quelqu'un d'important pour nous.
Il sera emprisonné ce fils de pute.
On a aussi la présence d'un cow-boy dans le désert. Il a tué deux personnes qui attaquaient une petite victime.
On doit le rechercher pour délit de fuite, même si il a fait quelque chose de bien, la loi est merdique.
Aujourd'hui, j'ai aussi eu une information confidentielle concernant un groupe de mercenaire ancien, du nom de Merryweather.
Merryweather est un groupe paramilitaire qui était en charge de faire de la protection rapprochée, vente de munition et contrats privés de l'armée américaine (Protéger des bases de l'IAA). On a eu une fuite concernant eux, souhaitant revenir dans l'île. On doit monter une opération pour en savoir +.
Merryweather et Atlas ne sont pas très bons amis. En effet, Atlas à fait dégager Merryweather pour les remplacer car ils n'étaient pas assez développés en arme et qualité militaire. Don Percival (PDG de Merryweather) n'avait pas apprécier et il y eut conflit entre ces deux corporations. J'y étais et c'était un vrai bordel.
La seule raison pour les faire dégager, était notre fric. On a offert de l'argent au gouvernement en guise de bienvenue, et le gouvernement s'est chargé de faire comprendre à Merryweather qui n'étaient plus qualifiés pour être dans leur territoire cause de développement financier et militaire. En gros, on leur a dit gentiment d'aller se faire enculer car ils ne servaient plus à rien. Et ça, ce petit enculé de Don Percival l'a mal prit car il s'est prit un shrapnel dans le cul.
On va alors monter une putain d'opération de renseignement à ces fils de putes, et on va les décalquer.
Fin de rapport.