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Nom : Amari
Prénom : Aaliyah (Prononcé Aliya ou Alia)
Age : 32 ans
Nationalité : Israélo-Américaine
Histoire du personnage :
Le monde a changé. L'histoire s'écrit généralement dans le sang et c'est d'autant plus vrai lorsque l'on grandit dans un pays en guerre. Son père, Ishmaël, est parti faire fortune aux Etats-Unis, l'abandonnant elle et sa mère à Ashkelon, ville dangereusement proche de la bande de Gaza.
Son enfance a été déplorable, comme celle de ses proches. Le couvre-feu, l'omniprésence du Tsahal, les tensions ethniques et religieuses... « On s'y fait », dit-elle encore quand elle parle de sa jeunesse.
C'est à 15 ans qu'elle part faire ses études à Tel Aviv, se spécialisant en géopolitique, et ce, jusqu'à son service militaire.
Comme tous les citoyens juifs d'Israël, Aaliyah est passée par le service militaire à sa majorité, puis, une fois les deux ans passés, elle décide de s'engager, espérant ajouter sa pierre à l'édifice et peut-être mettre un terme à ce conflit stupide, elle postule directement pour rejoindre les commandos Marines, et passe les vingt mois de sélections avec succès. Un idéal bien naïf qui a bien failli gâcher sa vie.
Elle participe à diverses opérations de contre-terrorisme, aussi des plusieurs interventions sur prise d'otage maritime et également à des incursions terrestres dont elle ne dira jamais rien.
L'armée Israélienne prétend être la force armée la plus morale du monde. Le Tsahal le principe suivant : « Les hommes et femmes de Tsahal n'utiliseront leurs armes et leur force que dans l'objectif et dans le cadre strict de leur mission et conserveront leur humanité même durant les combats. Les soldats de Tsahal n'utiliseront pas leurs armes et leur force pour faire du mal à des êtres humains qui ne sont ni combattants ni prisonniers de guerre et ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour éviter de causer des dommages à leurs vies, leurs corps, leur dignité et leur propriété. »
Ce à quoi elle peut dire que c'est de la pure connerie. Malgré toute la passion et l'amour qu'elle porte à son pays, elle est la première à dénoncer les exactions de celui-ci, et principalement à cause de ce qu'elle a vécu avant d'être remerciée par l'armée.
Une opération dérisoire et bénigne.
Une mission de reconnaissance basique, dans un village proche de Gaza.
Les volets claquaient dès qu'ils faisaient un pas sur la place. Certains autochtones les observaient depuis les fenestrons de leur maison. L'escouade avançait avec précaution, l'arme à la main. Aaliyah fermait la marche, désapprouvant l'attitude menaçante de ses équipiers. Elle se souvient encore de la discussion qu'ils avaient à ce moment là.
« - Des paysans ? Ils font quoi ?
- Ils nous regardent.
- Ils sont armés ?
- Non.
- ça, ça veut pas dire qu'on ne peut pas les buter. »
A croire que ça n'a pas plu à la population locale. Les portes se sont soudainement ouverte et les civils, ou plutôt, la milice improvisée, surgirent de tous les côtés, encerclant l'unité, proliférant des insultes en arabe.
L'action fut ensuite confuse. Il y a eu des sommations, des menaces, des jets de pierre, puis un gros choc derrière la tête.
Elle s'est réveillée quelques dizaines de minutes plus tard, dans un abri de fortune, accompagnée par le lieutenant Abbas. Il lui raconta que le Major Kaplan a ouvert le feu suite au coup de planche qu'elle avait reçu, abattant trois péons avant d'être découpé à la machette et qu'ils détenaient encore Kraus.
Ils étaient deux contre une cinquantaine de paysans remontés. Mais ça pouvait le faire, il suffisait de les effrayer...
Le duo sorti de son abri, s'avançant dans une ruelle vide, en direction de la place. Elle était bondée, tous étaient tournés vers une estrade, un échafaud improvisé. Kraus hurlait, il voulait de l'aide. Et, lorsqu'ils arrivèrent sur place, il était pendu.
Des lignes ne doivent pas être franchie, elles sont parfois ce qui fait de nous des êtres moraux et humains. Aaliyah renia alors les principes du Tsahal, ouvrant le feu dans la foule pour venger son ami, sous le regard hébété d'Abbas.
[…]
Elle fut renvoyée de l'armée, sauvée de la prison par ses états de services, dénoncée par Abbas.
Sans emploi, sans avenir au pays, elle décida de rejoindre son père aux Etats-Unis, elle alors 25 ans. Épicière dans un premier temps, travaillant pour son père, elle décide, une fois naturalisée, de s'engager dans la Police.
Troisième de sa promotion, elle est envoyée à Blaine County, où elle s'est démarquée par son leardership, son sérieux et ses capacités d'adaptation.
Aujourd'hui, elle espère plusieurs choses. Prendre la tête de la BCPD et peut-être se lancer dans la politique.
-----
Lors des élections, Aaliyah s'est présentée et est apparue comme la seule candidate républicaine digne de ce nom. La course à l'investiture l'a confronté au démocrate Cody Sherman qui, malheureusement, a été élu. Elle est donc retournée dans la Police en espérant que le politicard ne foute pas tout en l'air.
Et, c'est ce qu'il s'est passé. Après son élection, Sherman a bel et bien fait intervenir les forces de l'ordre "fédérales", venant de Los Santos. La criminalité s'est vue poussée des ailes et les flics de L.S. qui se prenaient pour on-ne-sait-quoi ont carrément merdé. Jugeant qu'ils étaient au-dessus de toute autorité, ils ont menés leurs opérations sans gène. Elles ont toutes été foirées.
Le frère de Sherman, Howard a été abattu par la Police et il n'a eu qu'un seul choix face à lui : Assumer ses tords et quitter son poste. Laissant alors Amari prendre sa place à la gouvernance de l'Etat.
Concrètement, on peut dire que son mandat s'est bien déroulé. Les initiatives prise par Aaliyah ont mené Blaine County dans un état de paix et de stabilité toute relative. Celle période de tranquillité a été forgée dans le sang des criminels massacrés par l'initiative R.C.
La RC est son oeuvre et son fardeau. Le régime de terreur imposé par ces agents sans intégrité morale a permis aux habitants du comté de vivre une vie normale, pendant qu'elle démantelait l'unité à petit feu. Déplaçant ou faisant éliminer ses hommes un par un. Certains ont retrouvés une vie normale, d'autres sont morts et, les derniers, ont intégrés les force de l'ordre.
Cette vie paisible a permis à la population de se développer, s'enrichir, elle avait accompli son but et en tenant parole.
Une fois arrivée à la fin de son mandat, Amari plutôt que retourner à une vie civile longue et ennuyeuse, retourna au sein de la BCPD et reprit son poste laissé vacant.
Le lieutenant Amari est prêt à collaborer avec les forces du Shérif locale afin de faire son travail en espérant que tout se passe bien.
De part son expérience, que ce soit au sein de la police ou en politique, elle est également la responsable d'une unité de la Brigade d'Intervention. Elle espère juste ne pas devoir en arriver à faire déployer ses hommes dans le comté.
Particularité(s) :
Propriété : N° 254, Paleto Bay, 780$ de loyer, charges comprises
Véhicule(s) possédé(s) :
Marque : Lampadati
Modèle : Felon
Couleur : Bleue
Dernière édition par Remedy le Mer 18 Jan - 15:50, édité 5 fois
Prénom : Aaliyah (Prononcé Aliya ou Alia)
Age : 32 ans
Nationalité : Israélo-Américaine
Histoire du personnage :
Le monde a changé. L'histoire s'écrit généralement dans le sang et c'est d'autant plus vrai lorsque l'on grandit dans un pays en guerre. Son père, Ishmaël, est parti faire fortune aux Etats-Unis, l'abandonnant elle et sa mère à Ashkelon, ville dangereusement proche de la bande de Gaza.
Son enfance a été déplorable, comme celle de ses proches. Le couvre-feu, l'omniprésence du Tsahal, les tensions ethniques et religieuses... « On s'y fait », dit-elle encore quand elle parle de sa jeunesse.
C'est à 15 ans qu'elle part faire ses études à Tel Aviv, se spécialisant en géopolitique, et ce, jusqu'à son service militaire.
Comme tous les citoyens juifs d'Israël, Aaliyah est passée par le service militaire à sa majorité, puis, une fois les deux ans passés, elle décide de s'engager, espérant ajouter sa pierre à l'édifice et peut-être mettre un terme à ce conflit stupide, elle postule directement pour rejoindre les commandos Marines, et passe les vingt mois de sélections avec succès. Un idéal bien naïf qui a bien failli gâcher sa vie.
Elle participe à diverses opérations de contre-terrorisme, aussi des plusieurs interventions sur prise d'otage maritime et également à des incursions terrestres dont elle ne dira jamais rien.
L'armée Israélienne prétend être la force armée la plus morale du monde. Le Tsahal le principe suivant : « Les hommes et femmes de Tsahal n'utiliseront leurs armes et leur force que dans l'objectif et dans le cadre strict de leur mission et conserveront leur humanité même durant les combats. Les soldats de Tsahal n'utiliseront pas leurs armes et leur force pour faire du mal à des êtres humains qui ne sont ni combattants ni prisonniers de guerre et ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour éviter de causer des dommages à leurs vies, leurs corps, leur dignité et leur propriété. »
Ce à quoi elle peut dire que c'est de la pure connerie. Malgré toute la passion et l'amour qu'elle porte à son pays, elle est la première à dénoncer les exactions de celui-ci, et principalement à cause de ce qu'elle a vécu avant d'être remerciée par l'armée.
Une opération dérisoire et bénigne.
Une mission de reconnaissance basique, dans un village proche de Gaza.
Les volets claquaient dès qu'ils faisaient un pas sur la place. Certains autochtones les observaient depuis les fenestrons de leur maison. L'escouade avançait avec précaution, l'arme à la main. Aaliyah fermait la marche, désapprouvant l'attitude menaçante de ses équipiers. Elle se souvient encore de la discussion qu'ils avaient à ce moment là.
« - Des paysans ? Ils font quoi ?
- Ils nous regardent.
- Ils sont armés ?
- Non.
- ça, ça veut pas dire qu'on ne peut pas les buter. »
A croire que ça n'a pas plu à la population locale. Les portes se sont soudainement ouverte et les civils, ou plutôt, la milice improvisée, surgirent de tous les côtés, encerclant l'unité, proliférant des insultes en arabe.
L'action fut ensuite confuse. Il y a eu des sommations, des menaces, des jets de pierre, puis un gros choc derrière la tête.
Elle s'est réveillée quelques dizaines de minutes plus tard, dans un abri de fortune, accompagnée par le lieutenant Abbas. Il lui raconta que le Major Kaplan a ouvert le feu suite au coup de planche qu'elle avait reçu, abattant trois péons avant d'être découpé à la machette et qu'ils détenaient encore Kraus.
Ils étaient deux contre une cinquantaine de paysans remontés. Mais ça pouvait le faire, il suffisait de les effrayer...
Le duo sorti de son abri, s'avançant dans une ruelle vide, en direction de la place. Elle était bondée, tous étaient tournés vers une estrade, un échafaud improvisé. Kraus hurlait, il voulait de l'aide. Et, lorsqu'ils arrivèrent sur place, il était pendu.
Des lignes ne doivent pas être franchie, elles sont parfois ce qui fait de nous des êtres moraux et humains. Aaliyah renia alors les principes du Tsahal, ouvrant le feu dans la foule pour venger son ami, sous le regard hébété d'Abbas.
[…]
Elle fut renvoyée de l'armée, sauvée de la prison par ses états de services, dénoncée par Abbas.
Sans emploi, sans avenir au pays, elle décida de rejoindre son père aux Etats-Unis, elle alors 25 ans. Épicière dans un premier temps, travaillant pour son père, elle décide, une fois naturalisée, de s'engager dans la Police.
Troisième de sa promotion, elle est envoyée à Blaine County, où elle s'est démarquée par son leardership, son sérieux et ses capacités d'adaptation.
Aujourd'hui, elle espère plusieurs choses. Prendre la tête de la BCPD et peut-être se lancer dans la politique.
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Lors des élections, Aaliyah s'est présentée et est apparue comme la seule candidate républicaine digne de ce nom. La course à l'investiture l'a confronté au démocrate Cody Sherman qui, malheureusement, a été élu. Elle est donc retournée dans la Police en espérant que le politicard ne foute pas tout en l'air.
Et, c'est ce qu'il s'est passé. Après son élection, Sherman a bel et bien fait intervenir les forces de l'ordre "fédérales", venant de Los Santos. La criminalité s'est vue poussée des ailes et les flics de L.S. qui se prenaient pour on-ne-sait-quoi ont carrément merdé. Jugeant qu'ils étaient au-dessus de toute autorité, ils ont menés leurs opérations sans gène. Elles ont toutes été foirées.
Le frère de Sherman, Howard a été abattu par la Police et il n'a eu qu'un seul choix face à lui : Assumer ses tords et quitter son poste. Laissant alors Amari prendre sa place à la gouvernance de l'Etat.
Concrètement, on peut dire que son mandat s'est bien déroulé. Les initiatives prise par Aaliyah ont mené Blaine County dans un état de paix et de stabilité toute relative. Celle période de tranquillité a été forgée dans le sang des criminels massacrés par l'initiative R.C.
La RC est son oeuvre et son fardeau. Le régime de terreur imposé par ces agents sans intégrité morale a permis aux habitants du comté de vivre une vie normale, pendant qu'elle démantelait l'unité à petit feu. Déplaçant ou faisant éliminer ses hommes un par un. Certains ont retrouvés une vie normale, d'autres sont morts et, les derniers, ont intégrés les force de l'ordre.
Cette vie paisible a permis à la population de se développer, s'enrichir, elle avait accompli son but et en tenant parole.
Une fois arrivée à la fin de son mandat, Amari plutôt que retourner à une vie civile longue et ennuyeuse, retourna au sein de la BCPD et reprit son poste laissé vacant.
Le lieutenant Amari est prêt à collaborer avec les forces du Shérif locale afin de faire son travail en espérant que tout se passe bien.
De part son expérience, que ce soit au sein de la police ou en politique, elle est également la responsable d'une unité de la Brigade d'Intervention. Elle espère juste ne pas devoir en arriver à faire déployer ses hommes dans le comté.
Particularité(s) :
- Tabagiste
- Impulsive
- Tatouée
- Rancunière
Propriété : N° 254, Paleto Bay, 780$ de loyer, charges comprises
Véhicule(s) possédé(s) :
Marque : Lampadati
Modèle : Felon
Couleur : Bleue
Dernière édition par Remedy le Mer 18 Jan - 15:50, édité 5 fois
